Financé par Soros, un think-tank soutient la répartition des migrants dans les campagnes

Source [Boulevard Voltaire] : « De Callac à Crépol : les campagnes au cœur des batailles identitaires ». Une cinquantaine de pages de rapport pour analyser les ressorts de la « méthode Callac », du nom du village breton qui, à la fin de l’année 2022, a refusé l’installation d’un centre pour réfugiés. Derrière l’apparence scientifique et rigoureuse de cette étude, se cache en réalité un agrégat de poncifs visant à décrédibiliser l’opposition des « identitaires » à la répartition des migrants en zone rurale.

Combattre les Identitaires

Callac, Saint-Brévin, Belâbre, Beyssenac… Ces noms de villages français jusqu’alors inconnus du grand public ont émergé dans la presse nationale. Tous étaient visés - et certains restent toujours concernés - par un projet d’installation de migrants sur leur territoire, initié par une association, la préfecture ou la commune. L’un d’eux, où BV s’était rendu dès les prémisses du projet, situé dans les Côtes d’Armor, a fait couler beaucoup d’encre. À Callac (22), le fonds de dotation Merci envisageait l’installation de plusieurs familles de réfugiés. En accord avec la mairie, l’arrivée des migrants dans ce village breton ne devait plus être qu’une formalité. Mais, c’était sans compter sur la mobilisation d’une partie des Callacois et d’habitants de la région qui, une fois informés, se sont battus à coups de tracts et de manifestations pour enterrer le projet. Et finalement, face à l’opposition, la mairie décidait, en janvier 2023, d’abandonner l’initiative.

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