Laboratoire d’idées au service du Bien Commun
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(source : JDD) Après l’évacuation d’un squat survenue ce mardi à Brest, les autorités ont découvert des inscriptions anti-police taguées sur les murs, dont certaines visant le colonel de gendarmerie, assassiné par un islamiste en 2018.
Des propos « outrageants » et « infamants ». Dans un communiqué publié ce jeudi, le préfet de Brest Louis Lefranc a annoncé déposer plainte après la découverte de tags hostiles envers la police sur un bâtiment squatté depuis plusieurs mois – et évacué ce mardi 14 octobre.
Lors de leur intervention, les forces de l’ordre ont fait état de messages insultant les forces de l’ordre, voire se réjouissant de leur mort. « Parmi ces messages, certains ont osé s’en prendre à la mémoire du colonel Arnaud Beltrame, héros de la Nation, tombé en 2018 sous les coups d’un terroriste après s’être substitué à un otage. S’en prendre à sa mémoire est une insulte à la République et à l’honneur de nos forces armées et de sécurité », s’est indigné Louis Le Franc auprès du Télégramme de Brest.
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