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Laboratoire d’idées au service du Bien Commun

Entretiens de l’été de Liberté politique : Patrick Wagner (Livr’arbitres)

Tout au long de l’été, Liberté politique ouvre ses colonnes à différentes personnalités amies. Aujourd’hui, nous nous entretenons avec Patrick Wagner, directeur de la revue Livr’arbitres.

Liberté politique : Vous avez fêté au début de l’été son 50ème numéro, pouvez-vous nous décrire votre revue ?

Livr’arbitres : Notre revue littéraire a plusieurs décennies d’existence, elle est née sur les bords de la Moselle à Metz, dans le campus de la faculté de Lettres Modernes. Elle est faite de rencontres, d’amitié, c’est une vieille demeure, où chaque pièce est indépendante et où pourtant souffle un esprit commun. Au fil du temps, des soutiens sont arrivés, de Michel Déon à Jean Raspail. Des contributeurs se sont agrégés d’Alain Paucard à Christopher Gérard, de Thierry Marignac à Michel Mourlet, de Francis Bergeron à Alain de Benoist, mais il faudrait en citer des dizaines d’autres ! Et nous ne pouvons oubliés nos lecteurs fidèles, car une revue ne peut évidemment exister sans abonnés ! La revue à pour but à la fois d’offrir des dossiers de fonds sur les grands auteurs de la littérature française et internationale, de remettre en lumière des plumes injustement « oubliées » ou « ostracisées » et de dénicher les perles de l’édition contemporaine. Nous restons ouverts, à l’écoute des plus récentes publications, et de nombreux jeunes gens nous rejoignent, ce qui est un gage de dynamisme, d’attrait sans cesse renouvelé. Notre marge de progression est encore grande, quand bien même le chemin parcouru est déjà incroyable…

LP : Pourquoi acheter une revue littéraire ?

Livr’arbitres : Peut-être et surtout pour essayer de s’y retrouver dans la production pléthorique de ces dernières décennies… Nous essayons d’être à notre niveau une espèce de Gault et Millau des bonnes maisons d’édition, des jeunes talents à découvrir ou des écrivains oubliés à « re »découvrir. Un bon livre, c’est comme un bon vin, s’il n’est pas bouchonné, vous pouvez le déguster à n’importe quel âge ! Nous avons également la particularité de publier de la création littéraire sous forme de courtes nouvelles, de « récits de voyage », de poésie…

LP : Qu’y trouve-t-on ?

Livr’arbitres : De tout ou presque, car si d’aucuns pensent que tout est politique, nous pourrions leur répondre que tout est littérature ! Plus sérieusement, vous trouverez des recensions de parutions récentes, d’autres d’auteurs disparus, des dossiers (par exemple les littératures de l’imaginaire, La littérature prolétarienne, les écrivains et la mer) et des portraits (Jean Raspail pour notre n°50, mais les 5 précédents étaient, pour vous faire une idée : Lovecraft, Jack London, Jean Cau, Raymond Abellio, Gabriele d’Annunzio) assez fournis. La partie « entretien » est également assez étoffée, enfin, des pages sur la BD, le cinéma, la littérature jeunesse, la poésie… L’ensemble sur 168 pages !

LP : Pouvez-vous me donner trois titres d’ouvrages qui vous ont marqué et que vous avez découvert grâce la revue ?

Livr’arbitres : Willem Frederik Hermans, La Maison préservée, Gallimard 2023 / Branimir Šćepanović, La Bouche pleine, Libretto, 2024 / Anca Visdei, Cioran ou la gai désespoir, L’Archipel, 2025. Mais si je puis me permettre, il est plus que temps de « découvrir » des auteurs comme Olivier Maulin, Patrice Jean, Bruno Lafourcade, Alexis Legayet, mais si vous êtes abonnés à notre revue, vous le savez déjà !

Achetez la dernière revue de Livr’arbitres consacrée à Jean Raspail en cliquant ici.

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