La récente classification de la mouvance antifasciste comme « organisation terroriste domestique » aux États-Unis, après l’assassinat du militant conservateur Charlie Kirk, met en lumière le risque que représentent les groupuscules se réclamant de l’antifascisme.
En France, ces organisations éparses font le coup de poing, tantôt dans les mouvements sociaux, tantôt en s’en prenant à des personnes isolées, et parfois lors de batailles rangées.
Antinationale par essence, l’antifascisme est un pur produit occidental, composé à 90 % de Blancs, et connaît un regain de forme à la faveur des victoires électorales des droites et des partis nationalistes. En France, de petits groupes tentent d’instaurer un climat de terreur contre quiconque ne rejoint pas leurs dogmes — du Parti socialiste au Rassemblement national.
Plusieurs initiatives ont déjà été lancées pour faire classer cette mouvance comme terroriste, à l’image des États-Unis, notamment une pétition lancée en début de semaine.
Comprendre le fonctionnement de cette mouvance en France est vital à quelques mois d’une élection présidentielle qui s’annonce particulièrement explosive !
Un document aussi nécessaire qu’inédit, qui sera envoyé dans quelques jours à des centaines d’élus, de personnalités politiques et médiatiques, pour informer le plus grand nombre sur cette menace.

Olivier Frèrejacques
Président de Liberté politique
