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Laboratoire d’idées au service du Bien Commun

10 septembre, attaques armées… L’extrême gauche en pleine ébullition

La progression des partis nationalistes et, plus généralement, des idées de droite sur les questions migratoires et sécuritaires, ainsi que la crise institutionnelle, sont propices à une explosion de la violence d’extrême gauche, dont le 10 septembre a été une illustration et probablement un avant-goût.

Milices antifa, black blocs, étudiants blancs en mal de sensations fortes… La journée de mobilisation du 10 septembre, récupérée par la gauche mélenchoniste et les syndicats, a permis une convergence des mécontentements à la gauche du PS.
Les chiffres sont assez mauvais : le ministère de l’Intérieur a recensé 175 000 manifestants à travers la France, avec 550 rassemblements et 262 blocages. La CGT, quant à elle, a revendiqué 250 000 participants. À titre de comparaison, pour l’Acte 1 des Gilets Jaunes, le 17 novembre 2018, les chiffres officiels du ministère de l’Intérieur faisaient état de 282 000 manifestants à l’échelle nationale.

Crise à tous les étages

Dans les deux cas, les chiffres ont été contestés, probablement à raison, par les organisateurs. Reste qu’en proportion, il semble qu’il y ait eu un bon tiers de manifestants en moins pour cet acte 1 de « Bloquons tout ». Le déchaînement de violences de groupuscules avec la bénédiction des Insoumis et des gauches écolo-communistes témoigne encore de la porosité, à gauche, entre les sphères radicales et institutionnelles.
La crise politique qui touche le pays, avec la nomination sans saveur de Sébastien Lecornu à Matignon, le rejet massif d’Emmanuel Macron et la situation économique déplorable, pourrait favoriser de nouveaux débordements à quelques mois des élections municipales et à moins de deux ans d’une nouvelle élection présidentielle.
La fameuse polarisation politique vantée par les experts sur les plateaux télévisés est là. Une partie de l’opinion, privée de relais, se retrouve aujourd’hui dans des médias alternatifs ou dans les médias de Vincent Bolloré. La gauche, furieuse de perdre son monopole, n’a cependant pas dit son dernier mot.

Comprendre les violences d’extrême gauche

Dans l’immédiat, le pouvoir en place tire les marrons du feu en se présentant comme le parti de l’ordre. Il risque néanmoins d’être épisodiquement débordé par des groupuscules plus ou moins identifiés qui entendent en découdre et bénéficient du blanc-seing d’une partie de la gauche et des magistrats. Aux États-Unis, les tentatives d’assassinat contre Donald Trump, et l’assassinat du militant conservateur Charlie Kirk, témoignent d’une radicalisation et de la détermination de mouvances toxiques.

C’est dans ce contexte tendu et incertain que Liberté Politique publie sa deuxième brochure « Extrême gauche – Réalités, violences et réseaux ». Une brochure inédite réalisée avec l’Observatoire des violences politiques. Sans caricature, nous proposons d’expliquer les ressorts d’une mouvance, les accointances avec certaines formations politiques et les objectifs des cercles d’extrême gauche, « antifas » et de leurs affidés. Elle sera adressée à plus de 350 décideurs, élus et personnalités politiques.

Vous pouvez d’ores et déjà précommander la brochure à 10€ seulement (frais de port compris) jusqu’au 30 septembre en cliquant ici.

Par avance, merci pour votre commande et votre soutien !

Olivier Frèrejacques

Président de Liberté politique

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