Trump brille par l'exemple
Article rédigé par Evelyne Joslain, le 27 décembre 2017 Trump brille par l'exemple

 En Europe, pas de trève de Noël pour Trump. La désinformation est systématique sur tout ce qu'il fait et dit, depuis la presse-caniveau (quelques kiosques n'ont pas hésité à afficher un poster géant de Trump avec une légende insultant aussi la nativité: "Fourre ça dans ta crèche, Fumier"...) jusqu'aux plateaux-télé et aux leaders européens May, Merckel, Macron, trois M, trois malédictions à la susceptibilité politiquement correcte perpétuellement exacerbée. Mais, derrière cette attitude, on devine une inquiétude: Et si, malgré tous leurs efforts, le public se mettait à réfléchir?

Pire, si les idées subversives de Trump venaient à plaire? Dans tous ses discours, et encore dans le dernier du 18 décembre (National Security Strategy Speech_requis par la fonction), Trump a souligné que l'Amérique "brillerait par l'exemple" et Trump le premier brille par l'exemple, n'en déplaise à ses détracteurs. Forçant le Congrès à faire son travail en fin d'année, il vient de signer son "cadeau de Noël", chose promise chose due, la loi de Réforme Fiscale qui bénéficie à tous les Américains, même si son idée personnelle était plus généreuse. Dans la foulée, sont abolis "le mandat obligatoire", pièce centrale de l'Obamacare, et l'interdiction de forer en Alaska. Les Européens en ont des sueurs froides: l'impôt sur les entreprises est aussi de 21% dans l'EU en moyenne mais les "gros", Allemagne et France, sont très au dessus et devront sans doute s'aligner pour garder un peu de compétitivité... Surtout, la réforme de Trump, elle, cible les vrais "rentiers" que sont les industries "vertes": fin de la prime à la voiture électrique (7 milliards de dollars d'économie), fin des subventions aux parcs d'éoliennes... Mesure qui concerne tout le monde, Trump abolit aussi "l'impôt sur la mort" (succession).

C'est donc une véritable leçon de moralisme fiscal qu'il administre à nos dirigeants: l'impôt ne doit pas être dévoyé pour 60% à la redistribution clientéliste, encore moins accabler une partie de sa population pour en faire les nouveaux serfs corvéables à merci au profit des autres. Trump nous révèle aussi que les énergies fossiles peuvent être "propres" comme la technologie américaine le prouve. Ses choix sont clairs et audacieux et il ne tiendrait qu'à nous de faire les mêmes. La technologie existe pour nous libérer et de l'OPEC qui nous oppresse depuis 1973, et du totalitarisme écologiste. Sur le plan international, Trump traite enfin les peuples musulmans en adultes qu'il met devant leurs responsabilités, et non plus en victimes. La NASA redevient une agence vouée à la conquête de l'espace, de Mars en premier, au lieu d'être une cellule "de mise en valeur des grandes contributions des Musulmans à la science". Ainsi Trump en termine avec toutes les lubies d'Obama, encore révéré et imité chez nous mais dont on découvre (grâce au journal Politico, pas vraiment un ami de Trump) que le misérable Obama a empêché une agence gouvernementale (Drug Enforcement Administration) de révéler que le Hezbollah terroriste livrait de la drogue à destination des Etats-Unis via l'Amérique du sud__pour ne pas contrarier les Iraniens et manquer l'accord maléfique qu'il voulait signer avec eux. Acte de haute trahison qui devrait être jugé et sanctionné... Trump s'est fait guerrier culturel, sur la scène internationale comme chez lui: il est le seul chef d'Etat à avoir publiquement condamné le communisme et son double, le socialisme. Pour le centenaire de la Révolution bolchévique, le seul à avoir décrété une Journée en Mémoire des 100 Millions de Victimes du Communisme.

Honte à tous ceux qui se sont tu. Il est le seul aussi à tenir tête à cet Idiot International que sont tous les organismes internationaux ligués contre lui et à affirmer haut et fort que c'est le droit souverain des nations qui doit primer sur un droit international politisé. Sans se lasser, il prend la défense de notre civilisation gréco-latino-judéo-chrétienne que nous avons la faiblesse de préférer aux autres et de vouloir préserver des agressions multiples résultant de l'incurie, voire de la volonté délibérée de nos dirigeants: Trump, seul encore, a rejeté la décision de L'ONU de 2016: Le Pacte Mondial Pour L'Immigration qui projetait le double but d'une immigration du sud vers le nord et d'une gouvernance mondiale, écrit noir sur blanc sur ce document, dans le dos des peuples concernés. Son allocution pour Noël, émouvante et profonde, démontre une fois encore qu'il est le principal soutien de la Chrétienté... Ce sont là des accomplissements extraordinaires, que l'on n'espérait plus. Trump est bien le chef du monde libre et pour tous ceux qui se sentent maltraités et privés d'un chef chez eux, le seul rempart qui tienne.