Face aux sauvages, les Français doivent choisir : se défendre ou disparaître

Source [valeurs actuelles] Les violences, qui ont éclaté après la défaite du PSG, dimanche à Paris, constituent le dernier épisode d'un assaut global, protéiforme, omniprésent et croissant d’une partie significative de l’immigration maghrébine et sub-saharienne contre tout ce qui est ou fait français, dénonce Jean Messiha, délégué national du RN. Tribune.

Les événements de dimanche soir, survenus à la suite de la défaite du PSG face au Bayern de Munich en finale de Ligue des Champions, ne sont une surprise pour personne. Il y a même fort à parier qu’en cas de victoire, les émeutes auraient été encore plus graves car encore plus de racailles auraient convergé vers les Champs-Élysées.

Nous sommes en réalité dans la chronique de la France ordinaire, ou plutôt de cette « nouvelle France » que la coalition « humaniste-progressiste » et la lâcheté de la droite pseudo-gaulliste ont engendré au fil des années.

Le football lui-même n’est pas en cause. C’est un sport magnifique qui, depuis des décennies, fait vibrer des centaines de millions de gens sur tous les continents et parfois des milliards pour les Coupes du monde. C’est un sport populaire, de masse et passionnel qui est souvent le miroir des problèmes et des dérives d’une société. C’est notamment cela qui explique aussi que son histoire est mêlée de violences, parfois terribles, dans et autour des stades.

Ce que nous avons vécu le 23 août au soir n’est que la répétition de ce qui s’est produit, ici en France, lors de la Coupe d’Afrique des Nations qui se jouait en Egypte, quand les succès de l’équipe d’Algérie provoquaient des émeutes en série. Mais c’est également la conséquence de bien d’autres événements non sportifs qui rassemblent les gens pour ce qui devrait être un moment de joie et de partage.

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