Un professeur d’Histoire voit sa carrière brisée à cause de son engagement et de ses idées

Source [Le Salon Beige] La police de la pensée est à l’oeuvre, même dans l’enseignement catholique. Ce professeur aurait été trotskyste, aurait-il été inquiété ? Article des DNA du 23 janvier.

Cette affaire montre qu’utiliser un nom de plume pour défendre ses convictions n’est pas une précaution de trop dans ce pays liberticide. L’anonymat ne consiste pas à se cacher par honte de ses idées, mais à se protéger face à nos ennemis, qui ne reculent devant rien.

En attendant, on ne connaît pas l’établissement, si des lecteurs en savent plus…