Un homme remporte une épreuve du Championnat du Monde de cyclisme féminin

Source [Le Salon Beige] Sous le titre « Une cycliste battue par une ‘femme’ trans dénonce une compétition ‘parfaitement injuste’ », Lifesitenews relate la réaction de Jenifer Wagner, une cycliste professionnelle qui a remporté la médaille de bronze aux Championnats du Monde « Masters Track Cycling » organisés par l’Union Cycliste Internationale il y a 2 semaines, dans une course où la médaille d’or a été glanée par Rachel McKinnon, un professeur de philosophie canadien qui « s’identifie comme une femme » alors qu’il est biologiquement un homme.

Dès le lundi suivant la course, Jenifer Wagner s’est épanchée sur les réseaux sociaux, déclarant que cette course était absolument injuste et que les règles actuelles de l’UCI, adoptées l’année dernière sous prétexte de « droits humains », étaient mauvaises. Sous la photo du podium de la course, elle a commenté : « Pour clarifier les choses : il s’agissait des Championnats du Monde FEMININS. Je répète : féminins ».

McKinnon s’est défendu en accusant ceux qui le critiquaient d’être des « transphobes bigots » qui « objectifient les êtres humains ». Il avait argué précédemment qu’il n’y avait « absolument aucune preuve que des hommes comme lui puissent avoir le moindre avantage injuste par rapport aux vraies femmes », tout en affirmant dans le même temps que cette question sur la réalité ou non d’un avantage était « largement hors sujet » parce que reconnaître les femmes « trans » dans le sport était « une question de droit », tout comme la ségrégation raciale.

Le jeudi de la même semaine, probablement sous la pression, Jenifer Wagner a finalement regretté que ses tweets précédents « n’aient pas été productifs ni positifs », s’excusant auprès de McKinnon de « ne pas l’avoir correctement félicité le jour de la course » et précisant qu’elle « respectait son droit à concourir sous les règles actuelles ». Dans le même temps, elle affirmait rester opposée à ces règles, mais être décidée à travailler dans les coulisses pour les faire évoluer plutôt que d’argumenter sur internet.

Les délires de la dictature LGBT continuent à se répandre dans tous les domaines…