Face à la Chine, les musulmans, arrogants avec l’Occident, rasent les murs…

source [Riposte laïque] À Pékin, la sinisation des religions est en marche. Xi Jinping, le nouvel empereur de Chine, entend régner sans partage et  réécrire les textes sacrés, afin de les reformater à la sauce du PCC. Vaste programme.

Pas question qu’une divinité quelconque ou qu’une philosophie religieuse fasse de l’ombre au tout-puissant Président chinois.

Il est vrai qu’on ne dirige pas un pays de 1,3 milliard d’habitants sans un certain encadrement de la pensée et une méthodique surveillance des foules…

Depuis la fin de la guerre civile et la victoire de Mao en 1949, année qui vit la naissance de la République populaire de Chine, les religions ont toujours été étroitement contrôlées par le Parti. Mais aujourd’hui, c’est une attaque frontale contre les textes sacrés que mène ouvertement Xi Xinping.

Évangiles, Coran, sutras du Bouddhisme et autres paroles divines seront donc retraduits en conformité avec la ligne du Parti communiste chinois.

Drapeaux rouges et portraits de Xi Jinping envahissent les sites religieux. On a même vu un portrait du Président chinois remplacer la Vierge Marie et l’Enfant dans une église catholique ! (source Figaro)

Au Xinjiang, les musulmans sont dans le collimateur du pouvoir, et bon nombre d’entre eux sont envoyés dans des « centres de rééducation », pour y subir un lavage de cerveau adapté.

Pour Xi Jinping, il est temps de combattre les « forces hostiles » manipulées par l’étranger.

Mais côté Vatican et autorités musulmanes, c’est le grand silence. Et si les musulmans sont de plus en plus arrogants avec l’Occident avachi, face à la Chine, ils rasent les murs et se taisent.

Si pour un musulman pratiquant la charia est au-dessus de tout autre pouvoir ou religion, pour Xi Jinping, c’est le Parti qui reste l’autorité suprême sans contestation possible.

Non content de surveiller le peuple dans tous ses comportements, achats, activités et  déplacements, le pouvoir entend avoir la mainmise sur les croyances.

Cet acharnement contre le catholicisme, le protestantisme, le taoïsme et le bouddhisme est incompréhensible. Quelle menace pourraient exercer ces croyances très minoritaires, à l’encontre du PCC et du pouvoir tout-puissant ? Aucune.

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