Un an déjà... Evelyne Joslain

source[Evelyne Joslain]dans la nuit du 8 au 9, nous fêterons le premier anniversaire de la victoire, homérique, de Donald Trump sur Hillary Clinton.

Ce 8 novembre, ou plutôt dans la nuit du 8 au 9, nous fêterons le premier anniversaire de la victoire, homérique, de Donald Trump sur Hillary Clinton.

Mais ne devrions-nous pas en même temps remercier la gauche pornographique, de Weiner à Weinstein? Trump était bien le seul à pouvoir terrasser HRC puis à s'attaquer à la bête immonde qu'est la gauche américaine d'aujourd'hui. Des révélations, presque quotidiennes depuis peu, le confirment.

Rappelons que 11 jours avant l'élection, le "sexteur" Anthony Weiner incarcéré avait livré à la police quelques milliers de courriels très dommageables pour son ex-épouse Huma Abedin et HRC __vraisemblablement en échange d'un allègement de peine pour ses activités pédophiles...

 

 Malgré cela, le 8 au soir, anticipant un triomphe, Clinton avait bu plus que de raison. Vers 11h, alors qu'il n'était plus possible de douter, c'est une Hillary complètement saoule et ivre de rage qui s'offrit en spectacle: des journalistes présents l'ont décrite en proie à un accès de rage violente contre son personnel de campagne, pleurant convulsivement, hurlant à Bill des injures ordurières (comme lors des disputes, homériques elles aussi, du ménage à la Maison Blanche), refusant de faire publiquement concession. Elle était, dit un proche, "folle furieuse comme Hitler dans son Bunker". Il fallut lui administrer un sédatif puissant pour qu'elle finisse par reconnaître sa défaite__ à 2h30 du matin, 8h30 pour nous!

Dès lors, il ne faut pas s'étonner que la gauche ait montré la même violence dans le déni que sa figure de proue: on ne compte plus les manifestations délirantes dans tout le pays, les appels au meurtre de Trump, les violences subventionnées éclatant à tout propos au cours de l'année.

C'est également en raison de la bile de la perdante que s'est quasiment institutionnalisé le déni. Les coupables de son échec? Le sexisme, le racisme, les femmes "blanches" passées dans le camp Trump, les 42 votes électoraux manquants...., et jusqu'à Nigel Farage! Tout le monde sauf elle-même, comme elle ressasse pathologiquement dans son livre. Dès le 9 novembre 2016, fut lancée l'affabulation d'une conspiration entre Trump et les Russes qui occupe les gros médias depuis, sans aucun fondement.

 

Mais voici que craque de partout la machination visant à obtenir rien moins qu'une procédure de destitution de Trump__de la part de gens qui n'ont pas bronché aux divers actes de haute trahison d'Obama (scandales de Benghazi, Uranium One, Fast and Furious...). Par exemple, le magnat du porno Larry Flint offre 10 millions de dollars à "quiconque pourrait apporter de quoi destituer Trump"...La gauche est désespérée à ce point.

 

Depuis le scandale de moeurs survenu à Hollywood, Harvey Weinstein dénoncé par sa vaste clientèle pour pratiques répugnantes alors qu'il était hier un "dieu" pour des célébrités anti-Trump comme Meryl Streep, les langues se délient. Certes pas par remord soudain, seulement parce que les "puissants", Clinton comme  Weinstein, ont perdu leur pouvoir. Les rats quittent donc le navire, telle Donna Brazile, présidente du DNC, qui avoue à présent ce que nous savions dès le début: que Clinton, qui a un lourd passé de collusion avec les Russes, est à la source du faux scandale fabriqué pour éclabousser Trump, avec l'aide du FBI, de la CIA et des médias. La gauche vicieuse a fait exactement, en bien pire, ce qu'elle accusait Trump d'avoir fait! Et on découvre derrière tous les faux vertueux qui les soutenaient des vices sans limites...

 

Malgré ce harcèlement journalier pendant 10 mois, Trump a réussi à ramener ou créer 2 millions d'emplois, sorti l'économie du marasme, commencé l'érection du Mur, assaini la politique des frontières, mis un coup d'arrêt aux accords internationaux et traités commerciaux qui ne sont ni libres ni justes, éradiqué l'Etat islamique, accusé publiquement le dévoiement des médias et le cancer du politiquement correct, dûment réprimandé l'ONU. Il gouverne en bon père de famille, ne perdant jamais de vue le bien être de ses compatriotes, leur préparant même un cadeau de Noël sous forme de soulagement fiscal sans précédent.

Cela pratiquement à lui seul car les Républicains au Congrès lui ont fait défaut presqu'en tout, et grâce à quelques ministres bien choisis et au Juge Suprême Gorsuch.

S'il semble avoir fait quelques erreurs dans ses désignations de personnel, son instinct politique n'en est pas moins excellent: il lance la gauche dans de vaines poursuites après ses tweets hyper-matinaux et pendant  qu'elle s'égare, lui gouverne tranquillement, tient ses promesses et accomplit un maximum.

 

Il brille aussi en politique étrangère (la démission de Saad Hariri est un signe supplémentaire qu'il a raison sur l'Iran) et c'est en Asie, au cours de son deuxième très long voyage, qu'il va fêter sa victoire de 2016.

Ou pas. Son agenda très chargé (Japon, Chine, Corée du Sud, Vietnam, Philippines et une deuxième rencontre avec Poutine) peut ne pas lui en laisser le loisir.

Nous le ferons pour lui. Après tout, chez nous il n'y a jamais rien à fêter.